Aurélien Barrau souligne que la surpopulation n’est pas le principal problème écologique, critiquant l’idée de réduire le nombre de naissances. Il encourage à repenser nos valeurs plutôt qu’à focaliser sur la démographie. Il reconnaît la complexité éthique individuelle de décider d’avoir des enfants dans un monde en crise, tout en soulignant l’espoir malgré l’obscurité.