Partie 1
Analyse Critique de la Présence de Macron au Salon de l’Agriculture et de ses Annonces
Le texte s’ouvre sur une évaluation sévère de la présence du président Macron au Salon de l’agriculture, mettant en lumière sa décision d’instaurer des prix planchers dans le secteur.
“… donc, Marc Fesneau, derrière Emmanuel Macron, quand ce dernier déambulait au salon de l’agriculture, ça faisait vraiment peine à voir. C’est-à-dire que c’était un ministre qui se comportait vraiment comme un stagiaire d’observation. Vous êtes derrière votre chef, vous n’avez pas de regard particulièrement expressif, vous ne dites pas un mot. Il n’a pas dit un mot de toute la journée à qui que ce soit. Alors certes, je veux bien qu’à l’inauguration du salon de l’agriculture, on mette le zoom sur le président, mais enfin, quand même, avoir deux ministres derrière soi, en l’occurrence Marc Fensneau et Madame Panier-Runaché, qui ne disent pas un mot et qui ont un regard de mort, vraiment de mort, ils regardaient leur pompes, c’est tout. Parce que je pense que aussi chez ces gens, il y a la peur de contredire un truc que dirait Emmanuel Macron, le président de la République, parce que on ne sait pas le matin même ce qu’il va annoncer. Qu’est-ce qu’ils attendent pour donner leur démission ? Ils n’ont aucun honneur.”
Opposition aux Prix Planchers et Conséquences Anticipées
L’auteur exprime clairement son opposition à la mesure des prix planchers, soulignant les risques potentiels tels que la possible ruine de l’agriculture en Afrique. Une vision alternative est esquissée, mettant en avant la suppression des subventions et la garantie d’un salaire de base pour les agriculteurs.
“… Comme vous entretenez la campagne, la communauté vous verse un salaire de, je ne sais pas, 800 € ou 1000 € par mois pour que vous fassiez votre boulot de paysan. Puis, tout ce que vous gagnerez en plus, vous le garderez. Ça ne sera pas imposé, vous n’aurez pas de charges sociales.”
Incompétence Présumée de Macron et Gestion Politique Critiquée
Charles Gave critique l’incompétence présumée de Macron, dépeignant son manque de compréhension du secteur agricole et remettant en question ses compétences politiques. Des commentaires sont faits sur la gestion politique controversée du président.
“… C’est qu’il est à l’évidence incompétent. Et je ne vois pas quel serait l’avantage de le mettre, alors qu’il est incompétent, dans un autre poste où il pourrait continuer. La seule chose qu’il faut faire avec Macron, c’est le mettre à la retraite. Alors, moi, je suis d’accord. Je dis pas qu’il faut le mettre ailleurs. C’est une condamnation du système politique qu’on a aujourd’hui, parce qu’autrefois, quand dans la monarchie, quand un politique était vraiment trop mauvais, il avait une espérance de vie assez courte, hein. Ouais, on le balançait du haut du… de la roche Tarpéienne,”
Réflexion sur une Possible Démission et le Système Politique Actuel
Une réflexion est amorcée sur l’idée d’une démission de Macron face à des situations difficiles. Des interrogations sont soulevées quant à la pertinence du système politique actuel.
“… si j’étais ce gars élu président de la République et je vois tous mes déplacements, ça se passe mal, je rencontre des Français, d’avoir trois compagnies de CRS et deux compagnies de gendarmes autour de lui, et vous passez devant l’Élysée, c’est un bloc. J’en aurais marre, moi, je démissionnerais. Je dirais, mais manifestement, le peuple n’est pas content de ma présence au pouvoir, je m’en vais, ou point. Il y a des moments où démissionner, c’est un soulagement pour tout le monde, y compris pour celui qui démissionne.”
Plaidoyer pour la Liberté et la Simplification des Politiques Économiques
L’argumentation met en lumière l’opposition à l’intervention dans les prix et quantités sur le marché, proposant plutôt le maintien du niveau de vie des agriculteurs et la suppression des réglementations et taxes superflues.
“… Donc, pour revenir sur le principe du prix plancher, aussi comme d’habitude en fait, on s’attaque plus aux conséquences du problème qu’à sa racine. C’est-à-dire que si le problème, c’est la faible plus-value des agriculteurs sur la vente de leur production, c’est-à-dire, le prix de vente moins le prix de production, au lieu de vouloir juste réduire le prix de production, ce qui est faisable en allégeant la pression fiscale, toutes les taxes, toutes les réglementations, en fait, ce qu’on veut faire, c’est augmenter le prix de vente, ce qui va rendre nécessairement l’agriculture française moins compétitive.”
Mise en Garde contre l’Importation de Produits Étrangers
Une alerte est lancée sur le risque d’importation de produits étrangers compétitifs en cas d’imposition de prix planchers, soulignant les conséquences potentiellement néfastes pour la production nationale.
Échecs Historiques des Interventions dans le Marché
Charles conclut en rappelant les échecs récurrents des interventions dans le marché au fil de l’histoire, en mettant en exergue les tentatives infructueuses de blocage des prix et des loyers.
Dans l’ensemble, Charles Gave offre une critique approfondie des politiques actuelles et propose des alternatives axées sur la liberté des agriculteurs et la simplification des politiques économiques.
Partie 2
Libération des Paysans : Proposition d’un Revenu Universel
L’idée principale de ce texte est la proposition d’instaurer un revenu universel de 1000 € par mois pour chaque paysan afin de les libérer des contraintes administratives et favoriser la liberté dans leurs choix de production.
“… Donc, on vous paie pour entretenir la campagne, et si vous voulez faire que ça, c’est tout ce que vous faites. Vous laissez pas vos champs à l’abandon, vous ne vous permettez pas cela. Voilà, très bien ça, ça, pas très bien, parce que ça c’est une dépense finie qui ne va pas augmenter, et puis ça va très bien, au moins vous rendez service.”
Critique de l’Interventionnisme Agricole
L’auteur critique l’interventionnisme excessif et les réglementations dans le secteur agricole, plaidant pour une approche basée sur la liberté plutôt que la contrainte.
“… Mais intervenir sur le prix du produit, sur la quantité du produit, sur les interdictions de ceci ou de cela, ça ne marche jamais. Encore une fois, la contrainte, ça ne marche jamais. Il n’y a qu’une chose qui marche, c’est la liberté.”
Valorisation de la Qualité à l’Étranger
L’auteur souligne la méfiance de certains agriculteurs envers les accords de libre-échange et suggère de valoriser la qualité des produits agricoles français à l’étranger.
“… Mais cette idée de ‘il faut que mon offre de poulet soit supérieure à la demande de poulet’, moi je m’en fous. Ce que je veux, c’est que le poulet soit bon. Si vous faisiez des poulets extraordinairement bons, extraordinairement chers en France, eh bien, je serais très content, j’achèterais que ça. C’est un peu le cas, mais j’en boufferais moins, j’en boufferais moins, je mangerais des légumes le reste du temps.”
Diversité et Qualité plutôt que Réglementation
Opposition ferme à l’idée de réglementer la production agricole, avec une préférence pour la diversité des choix des paysans et la promotion de la qualité des produits.
“… Mais encore une fois, aidons le paysan à faire des choix qui seront différents les uns des autres. Ne forçons pas le paysan à faire ce que tout le monde dans le reste du monde fait, dans des conditions épouvantables, et pour le malheur des bêtes.”
Liberté Économique et Défense de la Production Nationale
Mise en avant de l’importance de la liberté économique, avec une critique du modèle actuel qui favorise la consommation de produits importés au détriment de la production nationale de qualité.
“… il faut informer les gens et les laisser prendre des décisions libres. Et si vous dites, maintenant, je vais forcer les Français à exporter du poulet, on va maintenant faire une grande politique nationale d’exportation de poulet, ben, je peux vous dire qu’il ne sera pas mangeable.”
Externalités positives, externalités négatives
Charles Gave invite à considérer l’impact positif du monde de la ruralité et de la paysannerie dans le contexte national.
“… Les externalités positives, les externalités négatives. Bon, les externalités négatives, c’est une usine qui pollue tout, allez hop. Mais si on regarde le monde paysan, on peut pas s’empêcher de penser qu’ils ont pas mal d’externalités positives. C’est-à-dire, qu’ils entretiennent la campagne pour le compte de tout le monde. Ouais, pourquoi on les paierait pas pour ça ?”
Immigration et Consommation : Un Lien Interrogatif
La connexion entre l’immigration et la consommation est explorée, remettant en question la manière dont celle-ci contribue à la demande de biens et services tout en posant des questions sur la production nationale.
“… on importe des trucs du monde entier, et on veut maximiser la consommation. D’ailleurs, je pense que ça a un gros rapport aussi avec la masse d’immigration qu’on apporte. C’est aussi des gens qui ont tendance à dépenser de l’argent plus rapidement que les autres, et donc bah, ça, ça fait d’autant plus de… de consommateurs.”
Parallèle Entre Agriculteurs et Entrepreneurs
Comparaison des difficultés rencontrées par les agriculteurs et les entrepreneurs en France, soulignant les obstacles auxquels ils font face dans des modèles économiques peu durables.
“… si vous voulez, ce qui arrive aux paysans, c’est exactement la même chose qui est arrivée aussi aux entrepreneurs, c’est-à-dire que quiconque essaie de créer de la richesse en France, ouais, que ce soit paysan, que ce soit entrepreneur, ou mettons un très bon professeur dans une école qui essaie d’élever les enfants comme il faut et tout, mais tous ces gars-là, on les met à la poubelle, et on prend tous ceux qui bouffent des McDonald’s…”
Partie 3
La Puissance de l’IA et ses Limitations
L’auteur souligne les progrès rapides de l’intelligence artificielle (IA) tout en mettant en lumière ses limitations fondamentales. Il insiste sur le fait que l’IA peut effectuer des tâches et des calculs complexes, mais elle ne peut pas créer de nouvelles idées originales.
“… la différence entre le socialisme et le les gens normaux, c’est que dans le socialisme vous avez l’idée que tous les individus sont les mêmes et ils sont interchangeables, vous pouvez apprendre à une intelligence artificielle à faire de la musique d’ascenseur parce que, ça, elle a des centaines de millions de musique et cetera, mais vous ferez jamais Mozart, vous ferez jamais Beethoven parce que il y a quelque chose chez l’homme qui est ce que j’appelle le don divin de la création…”
Comparaison à une École de Commerce
L’IA est comparée à une école de commerce, capable d’exécuter des plans et des calculs, mais incapable de produire des visionnaires tels qu’Elon Musk. Cette analogie souligne le manque d’inventivité propre à l’IA par rapport aux capacités humaines.
“… l’intelligence artificielle ça c’est l’équivalent d’une école de commerce ça vous fera des gars qui savent faire des plans des tableaux Excel virer les gens quand il faut et cetera mais ça vous fera jamais un Elon Musk”.
La Crainte de la Montée de la Bêtise
Une préoccupation majeure est soulevée quant aux contraintes que les créateurs d’IA pourraient imposer, limitant ainsi l’émergence de génies. Cette restriction pourrait conduire à une augmentation de la bêtise, contrecarrant la montée des esprits brillants.
“… une montée en puissance de la connerie qui n’est plus contrebalancé par la montée en puissance des génies, ça c’est très possible, ouais, surtout si vous les laisser dans les mains des socialistes, ça c’est même certain, à ce moment-là, donc ce que j’ai toujours dit moi, ce qui m’avait toujours frappé dans la vie c’était pas l’intelligence artificielle c’était la connerie naturelle…”
Intervention Humaine Malgré les Progrès de l’IA
Malgré les avancées de l’IA, l’intervention humaine reste cruciale pour des domaines tels que la fusion nucléaire. L’auteur souligne que la conceptualisation et la direction nécessitent toujours une présence humaine.
“… on est obligé d’avoir l’humain pour expliquer à l’intelligence, il faut d’abord inventer la fusion, il fallait d’abord conceptualiser le truc, évidemment, faire faire des calculs pour que ça arrive plus vite, ça l’intelligence artificielle l’a pas pas fait”
Concentration du Pouvoir et Menace Démocratique
Une critique est dirigée contre la concentration du pouvoir et l’oligopole des grandes entreprises technologiques. Ces entreprises, telles qu’Amazon et Google, suscitent des préoccupations quant à leur impact sur la démocratie et la liberté individuelle.
“… une espèce de oligopole qui va contrôler les puces et l’utilisation des puces, et on va tous se retrouver en camp de concentration parce que, ces gars, on les connaît, qu’est-ce qu’ils vont faire ensuite une fois qu’ils sauront tout sur moi, et ben ils vont me dire : où tu obéis où on raconte toutes les saloperies que tu as fait dans ta vie…”
IA pour l’Amélioration Individuelle vs. IA pour les Puissants
La question de l’utilisation de l’IA pour le bien individuel par rapport à son utilisation par les puissants est abordée. L’auteur suggère qu’une lutte pourrait émerger entre les deux utilisations de l’IA.
“… il y a une façon de concevoir l’intelligence artificielle qui est d’aider les gens à prendre les décisions au moment où ils doivent les prendre et une autre qui est de leur expliquer ce qu’ils doivent faire, ouais, et ben c’est pas du tout la même chose ; donc il me semble que il va y avoir maintenant une lutte peut-être entre deux intelligences artificielles, celle qui aide chaque individu et celle qui aide de les puissants”.
L’Éventuelle Échappée de l’IA
Bien que l’auteur mentionne la possibilité théorique que l’IA puisse échapper à notre contrôle, il souligne qu’il n’y a actuellement aucune indication imminente de cela.
Partie 4
Critique de la Manipulation Médiatique : La Peur comme Outil
L’analyse des médias et leur impact sur l’anxiété collective
Une critique acerbe est dirigée vers les médias, pointant du doigt leur utilisation de la peur pour influencer l’opinion publique. L’auteur souligne l’importance de décoder cette manipulation médiatique pour une compréhension plus éclairée de notre réalité.
“… la presse depuis des années ne vit que par la peur donc on nous fait passer de peur en peur on a eu le covid puis on a eu je sais pas quoi avant et puis ensuite on a eu la guerre en Ukraine et puis on va aller nous on va envoyer nos soldats en Ukraine et donc je trouve suis fasciné parce que je demande toujours quelle est la prochaine peur qu’est-ce qu’ils vont encore nous dans la trouille pour nous empêcher de réfléchir” !
Manipulation et biais conformistes de l’IA
Défense de la liberté personnelle face à l’influence politique
Charles Gave met en évidence le risque de l’IA entre les mains des gouvernants et que l’IA pourrait être utilisé contre le peuple. Et à la question si l’IA pourrait nous aider :
“… elle nous aidera sûrement pas parce que sera dans la main des gars qui seront tous complices de Macron, parce que Macron, il aimerait bien qu’on soit gouverné par l’intelligence artificielle parce qu’il n’y aurait pas de paysan qui l’emmerderait, il irait tranquillement au Salon de l’agriculture, et il verrait pas un paysan, il y en aurait plus” !
De plus l’IA véhiculerait une bien-pensance programmée pour uniformiser et formater les individus. À ce propos, Charles Gave mentionne une polémique à propos de Gémini, l’IA de Google :
“… en gros lorsqu’on demande à Gemini de nous représenter, euh, par exemple, des chevaliers ou je sais pas, des guerriers samouraï, j’en sais rien, elle évite, il semblerait volontairement, de présenter des personnages blancs, y compris lorsqu’on fait appel, et donc, elle a été préprogrammée pour être convenable intellectuellement”.
“… elle a été préprogrammée pour pour être convenable intellectuellement ça veut dire qu’elle trouve encore moins que les autres, et ce que j’ai trouvé très drôle c’est que Google a dû s’excuser parce que il y a un type qui a eu l’idée de lui demander de représenter des nazis, il se trouve que Gemini lui a représenté des nazis noirs, enfin, de diverses couleurs ce qui est tout à fait original”
IA et Sélection des Candidats : Risques de Darwinisme et de Nazisme
Débat sur l’application de l’IA dans la sélection des individus
Une analyse approfondie est présentée concernant l’utilisation de l’IA dans la sélection des candidats, avec une mise en garde contre les risques associés à des principes darwiniens ou même nazis.
“… vous demandez une intelligence artificielle de sélectionner les meilleurs candidats, les conditions pour un meilleur candidat à un poste, ouais et ben, vous découvrez avec stupéfaction que c’est du darwinisme pur et dur et que c’est du nazisme pur et dur, donc si vous laissez l’intelligence artificielle, elle va toujours aller vers les solutions les plus inhumaines puisque c’est ce qui marche le mieux, oui, parce que si vous introduisez la tendresse humaine et tout, mais vous faites comment ?”
Défi de l’IA dans la Décision Financière : Un Monde en Mutation
Questionnement de la fiabilité de l’IA dans le domaine financier
Le texte remet en question la fiabilité de l’IA dans la prise de décisions financières, soulignant que ses analyses sont basées sur un monde qui a évolué, posant des défis majeurs pour son application dans ce domaine.
“… on va coller l’intelligence artificielle sur les marchés financier, ouais, donc elle va analyser tout ce qu’il y a eu dans le passé, et donc elle vous dira quand acheter ou quand vendre ; mais ce qu’elle a analysé dans le passé, toutes les séries, toutes les données qui existent quand l’intelligence artificielle n’existait pas, ce monde de la finance quand l’intelligence artificielle n’existait pas, n’est pas du tout le même ; et donc, s’il, prennent des décisions sur le monde où il y avait pas l’intelligence artificielle, ils vont se viander de façon épouvantable”
Liberté Individuelle vs. Confort Facile : Tension Fondamentale
Plaidoyer pour la vie difficile et l’amélioration personnelle
La tension fondamentale entre la préservation de la liberté individuelle et la tentation du confort facile est explorée. L’auteur soutient l’idée que la vie doit être difficile pour favoriser l’apprentissage et l’amélioration personnelle.
“… si j’ose dire, Dieu, tu es libre, et Satan, tu ne l’es pas. Et donc, la presse joue toujours Satan parce que ça fout la trouille et donc les gens qui ont peur sont dociles ; donc il faut revenir à ce que disait Jean-Paul 2 : ‘n’ayez pas peur, soyez toujours du côté de l’individu, et jamais du côté de Satan’.”
“… il y a certaines personnes, je pense à des types, comme je sais pas, Klaus Schwab et les autres gars du World Economic Forum, euh, ils sont franchement du côté là hein ! Voilà, c’est à-dire que eux, quand ils entendent parler d’intelligence artificielle ce qu’ils se disent, c’est : alors voilà, on va pouvoir continuer à faire fonctionner la société et cetera sans avoir besoin de l’initiative de l’individu, c’est-à-dire que l’individu, il va rester dans le même rêve, le même cauchemar, il va rester sur son canapé, à rien foutre toute la journée, et ce sera très bien comme ça, il sera content, et on lui enverra es drones de livraison Amazon, avec effectivement du poulet sous hormone, qui fera 8 kg, et tout sera très bien comme ça, et la société pourra continuer à fonctionner comme ça” !
“… moi, à la limite, je ne revendique pas une vie facile parce que la facilité ça n’existe pas ; il faut en prendre plein la gueule et s’améliorer, ouais, en tout cas en général” !
En résumé, Mr Gave invite à une réflexion approfondie sur les implications multiples de l’IA, soulignant l’importance de préserver la liberté individuelle tout en s’opposant à des visions de société trop centralisées, autoritaires, globalistes et totalitaristes.
Source : Jusqu’où ira l’IA, Macron se mélenchonise, Charles Gave et Léo refont l’actu.
Institut des Libertés-Charles Gave
01/03/2024